« Seuls ceux que j’aime Seuls ceux que j’aime Écoutez ! »
« Seuls ceux que j’aime Seuls ceux que j’aime Écoutez ! »
14 juin 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Comment comprendre que l'on commémore à ce point – notamment dans l'édition ! – ce qui s'est passé en France il y a quarante ans ? Qu'a donc représenté ce moment singulier dans le parcours et l'engagement d'un homme, dans l'histoire contemporaine et dans l'évolution du monde ?
Telles sont, entre autres, les questions dont nous pourrons débattre avec nos invités
le mardi 17 juin prochain à 19h30 – exceptionnellement au restaurant Le Christine
(1 rue Christine – 75006 Paris, métro: Odéon ou Saint-Michel, tél.: 01 40 51 71 64). Nous vous proposons en effet d'y rencontrer, dans le cadre des Mille-Feuilles :
- Alain GEISMAR, responsable d'un syndicat de l'enseignement supérieur en Mai 68, pour: Mon Mai 1968, témoignage et réflexions, Perrin, 2008,
- Philippe ARTIÈRES et Michelle ZANCARINI-FOURNEL, historiens, co-directeurs de:
68, une histoire collective (1962-1981), ouvrage collectif, La Découverte, 2008,
- Bernard GUETTA, journaliste et écrivain, chroniqueur à France Inter et à Libération
(Le Monde est mon métier, avec Jean LACOUTURE, autobiographies, Grasset, 2007).
Ces trois livres seront abondamment disponibles sur place grâce à Fabien Rajalu et sa librairie L'ALINÉA, sise 227 rue de Charenton – 75012 Paris.
Plan pour se rendre au restaurant Le Christine :
La présentation et l'échange, formalisés,
seront suivis d'un second temps, plus informel, autour d'un repas,
le tout, indissociable, pour le prix de 21 € (hors boissons).
IL EST PRUDENT ET SOUHAITABLE DE RÉSERVER !
Pour cela :
écrire à [email protected]
ou téléphoner à Frédéric Fredj au 06 08 43 50 53.
25 mai 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
La radio ne l'a (très brièvement) annoncé que ce matin : l'écrivain et scénariste Frédéric H. Fajardie est mort jeudi dernier 1er mai à l'âge de 60 ans.
Drôle de date, pour un camarade… Drôle de période également, pour l'auteur de
Jeunes femmes rouges toujours plus belles, en pleine "commémoration nationale" des quarante ans de… – de quoi, au fait ?
Saleté de crabe !
Jeunes femmes rouges toujours plus belles, mais aussi Tueurs de flics, La Nuit des Chats bottés, Sniper, Un homme en harmonie, Ciao, Bella, ciao !, etc. (dont l'ultime Tu ressembles à ma mort, noir de chez noir) : plus de soixante-dix titres en tout.
Une fois de plus - après Paul Steinberg, Liliane Dayot, Jacques Lacarrière et Pierre Vidal-Naquet -, les Mille-Feuilles portent le deuil d'un de leurs invités. Frédéric Fajardie était en effet venu à La Canaille le 16 octobre 2002, avec Jean-Bernard Pouy, Catherine Simon et Martin Winckler, pour participer à une rencontre intitulée
NOIRS DÉSIRS et parler de ses deux derniers livres du moment, Les Foulards rouges et Un pont sur la Loire. Ce soir-là, il nous avait entre autres expliqué que, pour lui, un roman devait d'abord raconter une histoire, et qu'à force de côtoyer tous les jours la tristesse des voyageurs lisant dans le train il veillait de plus en plus à ce que les siennes ne se terminent pas trop mal.
Et puis, il y a un peu plus d'un an, il m'avait donné son accord de principe pour "remettre ça" aux côtés d'Arturo Pérez-Reverte et de François Maspero
– si cela se faisait…
Cela se fera peut-être, mais hélas sans ce maître du genre et cet orfèvre du style, qui pratiquait avec autant d'aisance et de bonheur le roman noir, le roman sombre, le roman historique et le pamphlet, et à qui, tristement, je rends le « salut rouge » qu'il m'avait adressé jadis sur la page de garde de sa Chronique d'une liquidation politique.
Son site officiel : http://fajardie.free.fr/
06 mai 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (1)
Corsaires du Levant, sixième épisode des Aventures du Capitaine Alatriste, vient d'être édité par Le Seuil (comme tous les livres d'Arturo Pérez-Reverte), toujours traduit de l'espagnol par l'excellent François Maspero. Je ne l'ai pas encore lu mais m'en régale d'avance. Une appétissante "mise en bouche" nous est d'ailleurs fournie par la quatrième de couverture, que l'on découvrira en cliquant ici et qui expose, sans le déflorer, l'essentiel de ce qu'il y a à savoir sur ce roman et son auteur.
On sait, depuis
http://anatoll4.typepad.fr/le_voyage_de_lincredule/2007/12/capitn-alatrist.html,
par quel lien les Mille-Feuilles sont attachés à ce XVIIème siècle espagnol "de cape et d'épée" - et de poésie - tel que le ressuscitent le talent narratif, l'érudition et l'humanisme d'Arturo Pérez-Reverte. Que l'on sache donc aussi que, pour marquer les dix ans des Mille-Feuilles, nous espérons pouvoir bientôt inviter Arturo Pérez-Reverte et François Maspero - inch'Allah !
06 avril 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
En ces temps de grisaille et de morosité, un programme "vert tilleul" nous est venu…
Puisse-t-il nous apporter la lumière dont nos corps et nos esprits ont tant besoin !
SANS OUBLIER : www.mille-feuilles.fr
29 mars 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Discours prononcé par le Président Shimon Pérès à l'inauguration du Salon du Livre de Paris (13 mars 2008).
Gustave Flaubert a dit une fois qu’il y a séparation complète entre Dieu et l’Homme. Dieu est responsable de la Genèse et de la Fin tandis qu’à l’homme incombe la responsabilité de ce qui se passe entre ces deux instants. C’est une lourde responsabilité, car après la création du monde l’homme n’a pas cessé de créer. C’est donc à lui qu’incombe la responsabilité de créer la culture du peuple et de l’État, de la préserver et de la renouveler.
Tout au long de l’Histroire, de nombreux peuples, empires et puissances ont bâti des palais, des tours, des pyramides, des temples et des pagodes ; ces édifices sont fixés au sol – ils n’ont ni jambes pour marcher ni ailes pour voler.
Nos ancêtres les Hébreux n’ont pas laissé derrière eux d’édifices somptueux mais des livres remplis de sagesse et d’inspiration : la Bible, le Tamud, la Michna, les Légendes et la Poésie. Ils demeurent bien vivants. Ce ne sont pas des biens immobiliers, au contraire, ils sont bien mobiles, ils sont transmis de génération en génération, d’un site à l’autre, de la source à la traduction, de la patrie à l’Exil. Tout compte fait, on ne peut transporter sa Terre en Exil, mais la langue, même en Exil, elle demeure patrie.
Les édifices sont usés par le temps, leur matière est périssable : le bois pourrit, le fer rouille, le plâtre s’effrite. Leur beauté demeure, mais en vérité, ce ne sont que des ossatures muettes, dénuées d’esprit. En revanche la langue est un organisme vivant. Elle accumule son patrimoine et en tout lieu où la fondation humaine est fertile, ses germes poussent à nouveau.
Nos parents ne parlaient pas hébreu. Tout au plus ils priaient dans cette langue. Une infime minorité croyait possible de transformer une langue antique et archaïque, ayant gelé dans les Écritures et les livres de prière, en une langue vivante : langue d’écoliers, langue écrite et lue au quotidien, langue parlée, langage scientifique et langue du marché.
Les édifices des Grecs, des Assyriens, des Romains demeurent, mais leur langue a changé. Il n’y a qu’en Israël que nous parlons la langue des Prophètes. Et comme dit Ephraïm Kishon, nos enfants enseignent à leurs mères la langue maternelle.
Lorsque Moïse descendit du Mont Sinaï avec les Tables de la Loi, le code moral du Peuple juif fut créé. Les 169 mots des Dix Commandements sont l’acte de naissance du Peuple juif et de l’État d’Israël. Ils sont devenus la Charte constitutive de la civilisation occidentale. Toutes les tentatives de les modifier, de les remplacer, de les annuler, ont été vouées à l’échec.
Il est difficile de comprendre la renaissance du Peuple juif en Israël sans savoir qu’il s’agit d’une double renaissance : celle de la patrie et celle d’une civilisation antique.
La contribution des auteurs à cette renaissance a été décisive. Nous avons la chance d’avoir parmi nous des écrivains de premier ordre qui sont écoutés par le monde entier. L’un d’entre eux, Amos Oz, a observé : « Plus le récit est provincial, plus il est global ». Nos auteurs ont mis notre vérité en avant, au niveau global, et celle-ci a été reconnue de tous.
La Révolution française a changé le cours de l’histoire du peuple français, mais elle s’est déroulée sur le sol français. La Révolution juive était un retour vers son histoire à la fois culturelle et territoriale. Ces deux révolutions furent portées sur les épaules d’écrivains, de poètes et de créateurs dans tous les domaines. Ils ont devancé les hommes politiques.
Les Français appellent leur nouvelle république "La République des Lettres". Ce nom convient aussi à notre révolution.
L’homme qui a compris la possibilité de cette liaison, longtemps avant qu’elle ne se réalise, fut Rachi, le Vigneron de Troyes, qui vivait dans la France du onzième siècle. Sans son interprétation de la Bible on aurait du mal à comprendre ce qui se cache entre ses versets. Il était un linguiste virtuose ; il écrivait le français dans l’alphabet hébraïque, ce qui a permis aux Français contemporains de connaître la prononciation médiévale des mots. Il a créé de nouveaux mots français pour rester fidèle à la source dans sa traduction française de la Bible.
La langue n’a pas de frontières mais un État en a, et doit les défendre. Une langue sans État vaut bien un État sans langue. Elle est soit orpheline, soit muette. Nous n’avons pas de frères en langue, ni de soeurs en religion, et nous n’avons d’alternative ni à l’une, ni à l’autre.
La France nous a aidés à sauver nos vies et à défendre notre patrie. Mais nos relations vont bien au-delà de la sécurité : depuis la création de l’État d’Israël, il y a soixante ans, plus de 2500 titres ont été traduits du français à l’hébreu, et près de 1000 titres de l’hébreu au français. Un pays peut être petit ou grand ; mais l’esprit peut soit souffler soit expirer en bas âge.
Si le roi David nous rendait aujourd’hui visite pour voir une pièce de théâtre en Israël, il verrait probablement que sa harpe s’est affinée sans pour autant cesser de jouer. Les versets de ses psaumes sont toujours récités en hébreu moderne. Le roi Salomon lui-même n’aurait aucune peine à recevoir le Prix de Littérature de l’Israël moderne pour ses grandes oeuvres poétiques : l’Ecclésiaste et le Cantique des Cantiques.
La langue construit les livres, tout comme les briques construisent les maisons. Comme l’architecte qui conçoit un immeuble, l’écrivain est l’architecte du livre. Il faut de l’argent pour acquérir une maison ; mais pour acheter un livre il faut avoir soif de sagesse. Le livre accompagne le peuple, il accompagne l’homme tout au long de sa vie. Même dans ses moments de gloire un peuple reste solitaire. Même dans l’abondance, l’homme doit dialoguer avec lui-même. L’Israël moderne, tout comme la France de la Culture, a été créé dans un Livre et il existe dans les livres. Ces livres le sauvent de son isolement et sauvent l’homme de sa solitude. Comme le dit si bien le poète indien : « Je suis seul. Tu es seul. Soyons donc seuls ensemble ».
Je vous suis reconnaissant, chers écrivains. Vous, qui remplissez nos fleuves, nos lacs et nos mers d’une sagesse sans égale. La littérature a été et demeure mon premier amour. Je rêve de m’endormir avec un livre hébraïque en main et de me réveiller avec un livre français. Les poèmes résonnent en moi comme des sons délicats et passionnés. Une prose de qualité m’enivre et m’oblige à tout repenser. Je suis triste de finir un bon livre car je crains de ne lui trouver de digne concurrent. Il est difficile à l’homme de réaliser son rêve, mais si c’était possible j’aurais voulu être architecte de poèmes, constructeur d’édifices ou même pouvoir dialoguer avec les étoiles au firmament.
Malheureusement, je n’y suis pas parvenu. Il ne me reste plus que d’être le fervent admirateur de la République des Lettres et d’entretenir mes relations avec ses créateurs et citoyens. C’est peut-être l’avantage d’un Président d’État : personne ne peut censurer ses rêves.
15 mars 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
« La conception, l’organisation, l’animation et la promotion de rencontres littéraires mensuelles publiques dans des restaurants – avec l’invitation d’auteurs –, afin de soutenir la lecture, le livre imprimé, la librairie indépendante et l’édition de qualité, ainsi que de favoriser leur accès au plus grand nombre », tel est l'objet de l'association qui a pour nom "Les Mille-Feuilles" et dont les statuts ont été déposés en préfecture le 26 décembre dernier (siège social : 26 rue Saint-Louis-en-l'Île – 75004 Paris, insertion n°1540 au Journal Officiel du 19 janvier 2008).
Ses trois membres fondateurs – Frédéric FREDJ, éducateur spécialisé (Président), Fabien RAJALU, libraire (Trésorier) et Audrey DEBUYSSCHER, chef de service en Propriété Intellectuelle (Secrétaire) – ont été rejoints par Dominique BRARD, réalisatrice et scénariste, Michèle GAZIER, écrivain, et David FONTAINE, journaliste, pour former un Conseil d'administration qui ne tardera pas à lancer une campagne d'adhésions destinée à soutenir l'activité et les buts de cette (toute jeune) association.
À très bientôt, donc !
Pour davantage de précisions :
écrire à [email protected], consulter www.mille-feuilles.fr
ou téléphoner à Frédéric Fredj au 06 08 43 50 53.
26 février 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
L'aventure des Mille-Feuilles se poursuit donc dans l'Île Saint-Louis,
au restaurant LES FOUS DE L'ÎLE
(33 rue des Deux-Ponts - 75004 Paris, métro: Pont-Marie, tél.: 01 43 25 76 67).
Ce sera désormais le mardi soir - toujours une fois par mois.
La "formule" reste inchangée, mais son prix est ramené à 21 € (hors boissons).
Et puis Les Mille-Feuilles, c'est aussi maintenant le nom d'une association à buts non lucratifs, nous en reparlerons après que son "acte de naissance" sera paru au Journal Officiel (dans trois semaines environ).
En attendant, vous découvrirez en cliquant sur les liens ci-dessous le détail de ce que nous avons prévu de vous proposer pour les deux prochains mois. Avec en ouverture quatre auteurs et une libraire - tous de l'Île Saint-Louis, bien sûr…
Téléchargement MF_trim1-08.jpg
Téléchargement MF_trim1-08.pdf
Rendez-vous le mardi 12 février et le mardi 25 mars, donc !
Pour plus de précisions :
écrire à [email protected], consulter www.mille-feuilles.fr
ou téléphoner à Frédéric Fredj au 06 08 43 50 53.
21 janvier 2008 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Depuis le "lancement" des Mille-Feuilles à l'automne 1998, cette citation, extraite du deuxième volume des aventures du Capitaine Alatriste, figure sur tous les programmes qui les annoncent. Elle a souvent été mal comprise (« élitiste !», « méprisant ! »), alors qu'il ne s'agissait que d'une mise en garde contre l'obscuran-tisme et tous les fanatismes – mieux vaudrait ne lire aucun livre que de n'en lire qu'un seul : la Bible, le Coran, le Petit Livre Rouge, etc., au nom duquel on interdit tous les autres (l'action de ce roman d'Arturo Pérez-Reverte se déroule au temps de l'Inquisition espagnole). Voilà également pourquoi tous les genres, tous les styles, tous les thèmes sont admis aux Mille-Feuilles, pour peu que cela donne de bons livres, que l'on a plaisir à lire et dont on a plaisir à parler (car il existe aussi des bons livres "de droite" et des mauvais livres "de gauche" – mais oui !).
Les Mille-Feuilles ne pourront s'arrêter – sans frustration pour votre serviteur – qu'à partir du moment où l'on sera parvenu à y inviter Arturo Pérez-Reverte et son traducteur François Maspero (ce qui n'est pas une mince affaire, j'ai déjà essayé)...
01 décembre 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Choc émotionnel hier soir chez Colette : les éditions de Minuit viennent de rééditer le très beau texte de Savannah Bay, pièce inspirée à Marguerite Duras par l'immense Madeleine Renaud. Elle fut créée au Théâtre du Rond-Point le 28 septembre 1983 par Madeleine Renaud et Bulle Ogier.
Du bonheur à l'état pur !
Je me souviens d'y avoir goûté trois fois - la dernière à la fin du mois d'octobre 1984,
alors que Bulle Ogier venait de perdre sa fille Pascale.
Choc émotionnel hier soir au Bouledogue :
je reçois la confirmation que "Les Mille-Feuilles" doivent de toute urgence trouver un nouveau lieu où se produire…
Double-cliquer sur la touche verte
LA REPRISE : SAVANNAH BAY
Il lui aurait demandé si elle jouerait Savannah Bay jusqu'à la fin. Elle aurait dit : « Sans doute, oui, à cause de ça, mais je n'en suis pas sûre. » Elle aurait souri de ce rire clair et fou, fou d'enfance. Elle se serait appelée Madeleine, dans la pièce, dans la vie. Elle serait Madeleine, éperdument. Madeleine dans la splendeur de l'âge du monde. Et c'est pour vous qu'elle jouerait Savannah Bay. Ce soir. Accompagnée par l'écho, le bras de Bulle. Au commencement, il n'y aurait eu qu'une dépêche, une photo rapidement légendée, un abrupt télex : « Madeleine Renaud et Bulle Ogier reprennent Savannah Bay de Marguerite Duras au Théâtre Renaud-Barrault. Pour quelques soirs. » Alors il aurait décroché son téléphone, composé le 42.56.60.70 et réservé sa place. Car il n'y aurait rien d'autre à faire.
(Jean-Pierre Thibaudat, Libération, mardi 28 mars 1989)
Ah oui, je me souviens : j'y suis allé cette fois-là aussi, bouleversé par ce "JPT à la manière de MD", en Une de Libé - car il n'y avait effectivement rien d'autre à faire…
15 novembre 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (3)
12 octobre 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (2)
27 juillet 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Dernier titre paru : Microfictions, "nouvelles", Gallimard, 2007 (cliquer ici).
Prix France Culture / Télérama 2007
24 juillet 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (2)
Les
(à la mémoire de Gérard Bournoville)
Téléchargement La_Canaille_a_vingt_ans_1.pdf
Téléchargement La_Canaille_a_vingt_ans_2.pdf
Téléchargement Article_pour_les_25_ans_de_La_Canaille.pdf
Téléchargement Tract_lancement_Mille-Feuilles_automne_1998.pdf
Compte-rendu du troisième Mille-Feuilles de La Canaille (8 mars 1999)
Notre ami et camarade Paul Steinberg
– "Henri" dans Si c'est un homme, de Primo Levi –
nous a quittés le 20 décembre 1999, soit peu de temps après cette soirée mémorable. Son témoignage exceptionnel, Chroniques d'ailleurs, vient d'être réédité en format de poche chez Ramsay.
Programme du quatrième trimestre 2000
Modeste contribution des Mille-Feuilles à la chute de la "Maison Chirac"…
Téléchargement Article_Télérama_mars_2004.pdf
Téléchargement DS-Magazine_avril_2004.jpg
Téléchargement Zurban_novembre_2004.jpg
Téléchargement Beudi_Ganaillou_avril_2005.jpg
Téléchargement Interview_Espaces-Verts_printemps_2005.jpg
Téléchargement Portrait_Marais.eVous (05-10-05).pdf
Téléchargement Zurban_février_2006.jpg
Programme de l'avant-dernier trimestre à La Canaille
Programme du DERNIER trimestre à La Canaille
Les fichiers PDF sont assez lourds. Merci de patienter pendant leur téléchargement. Par ailleurs, utiliser le zoom pour une meilleure lisibilité de certains fichiers JPG.
Double-cliquer sur la touche verte
21 juillet 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Téléchargement Anachronisme.pdf
Mille mercis à l'excellent Pierre Marcelle !
Merci également au site :
et à Florence Trocmé, pour cette élégante annonce :
jeudi 11 janvier 2007
Pierre Bergounioux, Pierre Dumayet, Emmanuel Venet et Gérard Bobillier à Paris, le 15 janvier 2007.
Lundi 15 janvier, la première soirée littéraire « Les Mille-Feuilles » de l’année 2007, animée par Frédéric Fredj au restaurant Candide, réunira Pierre Bergounioux, Pierre Dumayet, Emmanuel Venet et leur éditeur Gérard Bobillier, à 19h30 précises. Réservation indispensable.
Candide
6, avenue Parmentier
75011 Paris
Métro : Voltaire / Léon Blum
Tél. : 01 43 79 11 75
Rédigé par Florence Trocmé le jeudi 11 janvier 2007 à 16h12
http://poezibao.typepad.com/poezibao/2007/01/pierre_bergouni.html
15 avril 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
Téléchargement MF_trim2-07.pdf
Téléchargement MF_trim2-07.jpg
Et la trace "en ligne" d'une soirée hélas annulée :
Lecture groupée
Publié le samedi 23 septembre 2006 à 0h00
Qui pense encore que la lecture est un plaisir solitaire ? Rien de mieux qu'un livre pour rassembler les amateurs entre ses lignes (…).
- Librairie Les Cahiers de Colette, 23 rue Rambuteau, 4ème, 01-42-72-95-06, www.lescahiersdecolette.com. Lundi 12h-19h30, du mardi au samedi 10h-19h45, dimanche 10h30-13h & 15h30-19h. Cette librairie est une escale prisée des écrivains, pour ne pas dire incontournable. Colette porte un regard bienveillant sur ses hôtes lettrés, qui le lui rendent bien.
- Restaurant Candide, 6 avenue Parmentier, 11ème, 06-08-43-50-53.
Frédéric Fredj fait salon au Candide, où il invite les passionnés de lecture à partager sa table, en compagnie d'écrivains. Le prochain gueuleton littéraire aura lieu le 13 novembre à 19h30, avec Pierre Michon et Pierre Bergounioux pour leurs derniers livres, ainsi que Gérard Bobillier, directeur des éditions Verdier
(25 € la soirée avec le repas). De quoi se mettre en appétit…
Carole Lefrançois
Pour lire l'article complet :
http://www.telerama.fr/divers/18644-lecture_groupee.php
15 avril 2007 dans Les Mille-Feuilles | Lien permanent | Commentaires (0)
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