La terrible nouvelle, prévisible, redoutée, vient de me tomber sous les yeux :
Jean Bottéro s'est éteint samedi dernier à Gif-sur-Yvette.
Et brusquement s'éteint au fond de moi une lumière qui m'éclairait depuis l'enfance.
Je l'évoquais ce matin encore, dans un courriel à une amie…
Un jour peut-être, si j'en ai le talent, je dirai ici l'homme qu'il fut
– et tout ce que je lui dois.
Pour l'heure, je suis à mon travail, et j'ai juste envie de pleurer.
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